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Date de publication28 février 2023
« Tentative(S) d'Utopie Vitale » © Cie Bouche à Bouche

L'aventurière de la scène

par Valérie de Saint-Do
Arts de la rue
PARCOURS

Il y a du cut up et du collage dans le parcours de Marie-Do Fréval comme dans son écriture. On lui a visiblement inscrit dans les mains plusieurs lignes de vie et de créations. Son parcours n’est ni fleuve, ni tranquille, mais fait de confluences, d’ancrages temporaires et de grandes traversées, de navigation tantôt en solitaire, tantôt avec des équipages fidèles mais renouvelés. Comédienne, performeuse, metteuse en scène, autrice… L’énumération reste restrictive pour décrire le foisonnement d’expériences et d’actes qui ponctuent sa voie artistique et qui défie la linéarité chronologique, pour une artiste qui préfèrera toujours courir vite ou danser sur les chemins de traverse que marcher droit. Tentative de résumé.

Marie-Do Fréval avec Les Scalzani

Tout commence par l’Italie, où Marie-Do Fréval part dans les années 80 sur un coup de tête et reste deux mois et demi. Elle y rencontre des artistes qui l’invitent instantanément à se joindre à eux, apprend l’italien, chante, manipule des marionnettes. « J'ai découvert le théâtre par une forme d'oralité et d'échange dans une langue qui n'était pas la mienne », résume-t-elle. Des graines avaient été semées dans l’enfance : sinon celles du théâtre, du moins celles de l’émotion musicale, liée à la pratique religieuse de sa famille. Au Havre où elle vivait, le père de Marie-Do Fréval chantait à la messe et son grand père était organiste. Un décorum qu’elle décrit comme « assez chargé émotionnellement » et qui va s’alourdir dans le deuil : la petite fille perd son père à sept ans et demi. Elle réagit en se réfugiant dans une vie imaginaire : elle joue des rôles, chante pour son frère et sa sœur. Mais personne ne lui collera alors l’étiquette « artiste » !

« Mon père était parti avec sa charge émotionnelle et artistique, je m’en suis trouvée chargée et j’ai cheminé avec. Ce n'est pas un hasard si j'ai commencé à jouer dans une autre langue : la mienne était un peu verrouillée, comme une langue sociale, une langue de contrainte, de bonne éducation, qui ne me laissait pas d’espace pour développer quelque chose de personnel. », explique-t-elle.

Revenue en France, elle travaille dans un bar de nuit voué à l’éducation spécialisée auprès de marginaux vivant dans la rue, et veut prolonger son expérience italienne. En France, elle avait fait de la danse et du sport en amateur, là-bas, tout le monde avait trouvé normal de la voir chanter sur scène.

Entre Le Havre, Paris, et l’Italie, elle se lance dans plusieurs aventures. En France, elle monte un groupe de théâtre amateur, dans la lignée d’Augusto Boal qui, selon ses propos, réunit toutes les marginalités possibles : alcoolisme, délinquance, toxicomanie, prison… Et un groupe d’écriture avec des femmes issues pour la plupart de la prostitution. En Italie, elle initie des actes résistants féministes sous forme d’interventions de rue. Tous les ingrédients de ce qui va constituer un parcours et une œuvre sont là : le théâtre, la performance, l’espace public, le féminisme, l’attraction pour les marges et les invisibles (relégués) de la société, et le besoin d’emprunter plusieurs voies à la fois.

Mais Marie-Do Fréval ne se définit pas encore comme artiste, avant que l’évidence ne s’impose après une petite année de pratique : « La seule honnêteté, c'était d'être au plateau et de voir ce qui s'y passait. Je l’ai pris comme un défi, une question de vie ou de mort et ça traverse tout mon parcours. Il fallait que je sois comédienne, que je sois sur scène, et que je voie si les autres allaient me croire. Est-ce que j’étais crédible ? »

Marie-Do Fréval avec Les Scalzani

 

Le goût des commencements

C’est de nouveau auprès de comédiens italiens qu’elle va faire ses armes dans le métier, en rejoignant en 1982 une troupe de commedia dell’arte, ainsi qu'un groupe, issu de la Rue Blanche de l’époque, dirigé par François Joxe. Elle y est tout de suite intégrée – « Je ne savais pas que j’étais amateur ! Je n’avais pas de formation mais une nécessité de jouer ». À partir de là, elle ne quitte plus les plateaux. Elle reste un an et demi avec la compagnie italienne, Les Scalzacani. Puis avec l’auteur Jean-François Charlier, le metteur en scène Daniel Besse, le technicien Philippe Lacombe, elle intègre une compagnie, le Théâtre du Singe, et éprouve pendant quatre ans, de 1985 à 1989 la vie d’une troupe où, au-delà de l’étiquette professionnelle de chacun, un vrai travail collectif s’élaborent et une foison d’expériences se tentent.

Marie Do Fréval et Thomas Laroppe dans « Anticlimax »
de Werner Schwab ​​​(2002)

À la fin des années 90, elle fait partie de la scène contemporaine parisienne. Elle y interprète Philippe Minyana, Louis Calaferte, Franz Xaver Kroetz, Louise Doutreligne, Werner Schwab, empruntera d’autres langues de jeu comme l’anglais et l’espagnol, se mettra au trapèze pour Les Noctambules et au roller pour Anticlimax de Werner Schwab (2002) à la MC 93… Si les liens avec l’Italie deviennent plus ténus, elle garde de ses expériences premières une imprégnation par l’oralité.

 

Parallèlement à ses rôles d’interprètes dans la création contemporaine, elle garde ce goût du vécu de troupe, et participe volontiers à plusieurs créations d’une même compagnie. En 1994, elle accompagne par exemple la metteuse en scène Panchika Velez, qui crée une compagnie dans le Pays basque. « Ce qui m’intéresse, c’est le début des projets, quand naissent les idées, quand on a tout dans le creux de la main. Je m’ennuie très vite. J’étais chaque fois auprès d’artistes dont les énergies étaient en train de naître. »

Elle rejoint en 2003 la compagnie Catherine Hubeau, au sein de laquelle elle rassemble des artistes de différentes disciplines pour inventer un Cabaret feuilleton à partir de paroles d’habitants. C’est ainsi que débute l’aventure de la création pour et dans la rue. Catherine Hubeau partie, Marie-Do Fréval prendra en 2009 les rênes de la compagnie qui devient alors la Cie Bouche à Bouche.

De la scène à la rue

Le 21 avril 2002, le deuxième tour de l’élection présidentielle oppose Jean-Marie Le Pen à Jacques Chirac. Pour Marie-Do Fréval, c’est un déclencheur politique : « J’ai été obligée de voter Chirac et je n’ai plus pu séparer mon travail de comédienne / metteure en scène de mon engagement. C’était l’impasse totale de ce que je pouvais imaginer être la démocratie, une situation de crise. Impossible de revenir en arrière : je devais unir ma conscience politique – si tant est que j’en aie eu une ! – avec ma pratique de l’art. Les théâtres, selon moi, ne le permettaient pas. Il fallait que j’aille au plus près d’un public beaucoup plus large, face au monde qui commençait à aller très mal, et parler aux gens en créant un lien très direct dans l’acte artistique. Je voulais sortir de la case culturelle dans laquelle on se demande pourquoi le public vient ou ne vient pas. Ce n’était pas la bonne question, il fallait se placer au plus près des gens, se demander pourquoi des grilles se montaient sur les trottoirs parisiens, pourquoi il y avait partout des caméras de surveillance… être au plus près des vies et des paroles, et surtout celles qui sont oubliées. J’ai le sentiment que je fais parler ceux que l’on n’entend pas. »

L’espace public, elle l’investit d’abord dans son quartier, Pernety, en créant une troupe amateure, puis en réunissant des artistes autour d’elle dans la compagnie Catherine Hubeau qui deviendra par la suite Bouche à Bouche. Avec dix personnes, elle se lance dans l’aventure d’un Cabaret feuilleton. Le Cabaret feuilleton est joué dans des espaces informels, des cours d’immeubles et un peu au cinéma l’Entrepôt qui conservait alors un caractère encore alternatif.

Des professionnels viennent le voir et se mêlent aux personnes du quartier qu’elle a interviewées pour le cabaret. Parmi eux, Ema Drouin, qui l’invite à rejoindre la Fédération des Arts de la rue dont elle intègre immédiatement le conseil d’administration : « Je n’avais pas réalisé que jouer dans la rue, c’était un art en soi, pour moi cela relevait de la nécessité. J’y ai découvert une famille, alors que tu es très isolée quand tu travailles sur un territoire à Paris. Les salles fonctionnent beaucoup en cercles fermés, c’est plus scindé que n’importe quel village. J’ai à la fois rencontré des artistes et une forme d’engagement qui me correspondait. »

Le Cabaret feuilleton est un challenge : « C’était un peu surdimensionné pour un premier projet, reconnaît-elle. Il fallait écrire, répéter, ça ne laissait pas de place à un autre travail alors qu’on n’avait pas d’argent, mais on a quand même tenu deux ans ! » Mais c’est avec ce défi qu’elle fait ses armes de metteuse en scène, qu’elle poursuit avec Cœur de Vaches (2008), commandé à Anne Avrane, créé au Théâtre de la Tempête, dans le bois de Vincennes, tragédie loufoque pour troupeau de vaches qui déambulera dans le 14e arrondissement. Les créations s’enchaînent sur ce territoire qu’elle arpente inlassablement : petites ou grandes formes, installations, performances, lectures, déambulations…

« Cœur de Vaches » (2008) © Cie Bouche à Bouche

 

Compagnonnages féminins et féministes

Elle rencontre Nadège Prugnard en 2001 dans un chantier d’écriture autour du cabaret politique avec Eugène Durif et Jean-Louis Hourdin et entame avec elle un long compagnonnage, matérialisé par sa participation à plusieurs créations : Jean-Jacques ? (2003), l’adresse explosive au ministre de la Culture d’alors, qui va propulser Nadège comme autrice fulgurante, puis le percutant M.A.M.A.E (2005) soit Meurtre Artistique Munitions Action Explosion, que Marie-Do décrit comme un acte fondateur.

« M.A.M.A.E » (2005)

Deux femmes engagées, deux féministes, dont les grandes gueules vont bousculer le milieu. Pour Marie-Do Fréval, le féminisme était là depuis le début, aussi comme combat dans le milieu des arts de la rue. En 2004, elle est à Avignon avec le collectif La Barbe et met en scène des fragments de Jean-Jacques dans les queues du IN d’Avignon, avec huit comédiennes qu’elle entraînera ensuite dans l’aventure de M.A.M.A.E. C’est aussi pour elle que Nadège écrit Ma mort n’est la faute de personne (2012), rituel d'enterrement en même temps que célébration de vie.

 

« Prendre la parole, parler de ses projets, de son écriture, de ses préoccupations était un acte féministe et un pavé dans la mare dans le monde des arts de la rue. Parce qu'il faut bien dire que ce milieu était le summum du machisme ! On niait complètement la parole d’une femme artiste, encore plus qu’ailleurs ; une non-intégration totale de nos préoccupations, alors qu'on s'exprimait en tant qu'artistes ! Il y a quelque chose qui traverse tous les parcours de femmes, c’est une violence, que l’on a intégrée sans même parfois en souffrir. C’est là qu’on est très fortes, peut-être, mais à quoi sert cette force ? Aujourd’hui, quelque chose s’est inversé : il n’y a pas de fatalité du parcours de la femme, la jeune génération en a terminé avec ça. Elles peuvent être porteuses d’un message plus collectif, alors que dans mon parcours, il a fallu tant d'années avant que je comprenne que je n'étais pas toute seule ! Personne ne m’avait dit que ce je traversais était une chose commune, puisque c’est de l’ordre de l’intime et du non-dit, comme tout ce qui sort sur le harcèlement de rue. »


« Ma mort n'est la faute de personne »  au Festival d'Aurillac en août 2012. 

Écrire pour la rue

C'est aussi l'espace public qui libère l'écriture. Marie-Do Fréval a écrit très tôt, des poèmes, des articles, des fragments, mais sans lier cette expression à son action théâtrale. C’est avec le metteur en scène Philippe Adrien et les Rencontres de la Cartoucherie, à Vincennes, qu’elle a fait acte d’écriture pour la scène : « Je voyais tout de suite la pierre d’achoppement. Auparavant, l’écriture impliquait des temps qui n’étaient pas les miens : j’avais besoin d’être dans la présence au monde. Donc, j’ai été actrice et metteuse en scène dans un premier temps. » Partie de l’écriture témoignage et collective, brassant les interviews, les rencontres, le travail de territoire pour chaque fois les transcender dans une forme d’outrance joyeuse, elle trouve sa voie et sa voix, de création en création.

C'est avec Tentative(S) de Résistance(S), créé en 2016, qu'elle réunit pour la première fois l'autrice, la metteuse en scène et la comédienne, « comme une reconstitution de tout ce que j’avais traversé ». C’est aussi à travers ce spectacle que vient la reconnaissance en tant qu’autrice, et dans les festivals. De 2016 à 2022, par épisodes ou en série, Tentative(S) de Résistance(S), coproduit par le CNAREP Le Moulin Fondu, écume les festivals, ainsi que les bars et quelques scènes dont le CDN des Ilets à Montluçon. Le texte est publié aux Éditions Deuxième époque.

« Tentative(S) de Résistance(S) » © Cie Bouche à Bouche 


Marie-Do Fréval obtient ensuite le prix Beaumarchais, bourse d’écriture pour Paillarde(S) (2019), une autre bourse du Centre national du Livre pour J’ai un vieux dans mon sac, si tu veux je te le prête (2020).Tentative(S) d’Utopie vitale, Paillarde(S) et J’ai un vieux dans mon sac vont sillonner les festivals et imposer une figure incontournable, sous trois casquettes réunies en une. Elle entre en 2020 au Conseil d’administration de la SACD pour les Arts de la rue et quitte alors l’association des AEP (auteurs dans l’espace public) qu’elle avait cofondée en 2010.

Oscillations, trajectoires, boucles

Marie-Do Fréval ne cite qu’une infirme partie de son CV kilométrique, où se mêlent, pour ne citer que les expériences les plus endurantes dans le temps, les compagnonnages de comédienne avec Didier Ruiz pour L’amour en toutes lettres (en tournée depuis 1999), la mise en scène d’autrices complices comme Ema Drouin, Anne Avrane, Perrine Ange-Michelet et Nadège Prugnard évidemment. La linéarité chronologique ne rend pas compte d’un parcours où se nouent les amitiés, l’aventure individuelle et les aventures collectives, une navigation où émergent quelques fondamentaux comme des ports d’attache : le propos politique et la réactivité à l’actualité, le féminisme, le travail dans l’espace public et sur un territoire, la rencontre humaine comme matériau premier.

« J’ai toujours eu plusieurs chemins. J’explique ça par le fait d’avoir eu deux pères. Avec deux paternités, tu ne peux pas avoir un seul chemin. Mon père disparu et fantasmé et un beau père qui nous a élevés. Il me faut au moins deux chemins en même temps, comme si le fait de devoir choisir quelque chose dans l’unicité était le piège ou la mort. ».

Ces chemins, ce sont souvent des rencontres qui en marquent les panneaux indicateurs depuis son premier frottement avec le théâtre en Italie jusqu’à ses compagnonnages plus récents avec de jeunes artistes. Ses expériences ont toujours oscillé entre solitude et collectif, du Théâtre du Singe en 1985 à la compagnie Bouche à Bouche aujourd’hui, des créations à plusieurs à l’expérience ultime de Tentative(S) de Résistance(S), qu’elle a écrit, mis en scène et interprété seule. Une oscillation qui est aussi celle entre le jeu, la mise en scène et l’écriture, entre l’ancrage sur le territoire où elle œuvre depuis plus de vingt ans et les voyages, entre la salle et la rue, entre sa compagnie professionnelle et le travail avec un atelier amateur.

Artiste polyvalente, polymorphe, toujours on the road même quand la rue est celle de son quartier, qui ne semble craindre qu’une chose : la routine et l’enfermement dans les cases. S’arrêter en (si bon) chemin, ce serait chuter.

​​

Valérie de Saint-Do
Valérie de Saint-Do a travaillé comme journaliste à la rubrique Culture au quotidien Sud-Ouest à Bordeaux puis codirigé la revue art et société Cassandre/Horschamp de 2001 à 2012. Depuis 2012, elle écrit en free lance pour différentes publications (Stradda, L'Architecture d'aujourd'hui,...
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