Pleurage et scintillement est un duo intimiste aux inspirations multiples. Un bar, une sorte de no man’s land dans lequel ne s’inscrivent que des passages, un lieu fantasmé, de tous les possibles, où le temps se suspend, un lieu de rencontre improbable, de séduction, d’utopie, de transgression. Deux personnages. Une valse des humeurs s’esquisse. Sentiments et émotions se déclinent en variation. Dans cet abandon à la rencontre, les corps respirent, les regards se posent, la complicité s’écrit.
Courtiser la sincérité des présences, explorer l’équilibre entre les corps et les émotions, la fragilité qui nous fait homme, qui nous fait femme, qui fait corps au fil de nos vies.
S’amuser à jouer à l’autre, prétendre devenir quelqu’un, défier ses peurs et maintenir ce lien comme deux frère et sœur d’équilibre.
Se tenir à la lisière d’une réalité concrète et d’une fiction qui advient. Faire émerger une écriture du cirque-théâtre, comme il existe une danse-théâtre, qui fait la part belle aux corps en présence.
Cette pièce s’inscrit dans un lieu fantasmé dans lequel le temps se suspend, dans lequel tout est possible ; Lieu de rencontre improbable, de séduction, d’utopie et de transgression.
Deux personnages se rencontrent de manière inattendue. Ils esquissent une sorte de valse des humeurs, sentiments et émotions se déclinent en variations.
Dans cet abandon à la rencontre, les corps respirent, les regards se posent, la complicité s’écrit. La danse exprime une tranche de leur vie : celle de cet instant-là de leur rencontre, qui n’aurait pu se passer qu’ici, dans ce lieux curieux, sorte de no man’s land dans lequel ne s’inscrivent que des passages.
Ils dérouleront le fil d’Ariane de leur relation, teintée d’amour provisoire et de fraternité. Au cœur d’une parenthèse de vie, être là avec ce qu’on a été, avec ce qu’on aurait voulu être, avec ce que nous rêvons devenir.